Il y a longtemps déjà, il existait une roche parlante, si polis à cause du temps et l'expérience que plusieurs poissons, qui habitaient proche de la roche, décidèrent de la nommer "Rocaillichou" en l'honneur de la pagaille de quatorze dix-huit, la tourbillonnante.
Rocaillichou était une roche resplendissante, même quand elle était à l'ombre du soleil et, parfois, pouvions-nous l'entendre chantonner avec une voix rauque (et rocailleuse quand il neigeait). Nous nous réfugiâmes loin de la roche quand il pleuvait; autrement, nous les molécules ombrées, admirâmes Rocaillichou de loin quand la pénombre tombait. Nous nous cachions parce-que le fluorure chantonné invisible de Rocail' pouvait nous faire réagir d'une façon inconstante.
Les molécules particulaires qui habitaient plus loin que nous, et par conséquent qui n'avait pas la joie d'entendre Rocail' avec sa voie parsemé de trouvailles bijoutées, se promenaient sans joie - non à cause du manque de fluorure, mais plutôt à cause de la nobilité talqueuse qui égratignait leur pesanteur historique. En autre mots, ils étaient malléables, tandis que nous étions rigides mais plus rapproché de Rocail', et par conséquent choucouprés.
À être continué...